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Le maintien du site de Saint-Jean : un peu de lumière dans les ténèbres
Auteur(s) : Tessier, François
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Notice du document
- Titre / Title
- Le maintien du site de Saint-Jean : un peu de lumière dans les ténèbres = Maintaining the Saint-Jean site: a bit of light in the darkness
- Auteur(s) / Author(s)
- Tessier François, auteur principal
- Type de document
- Article
- Collection
- Cahiers d'histoire de l'aluminium
, N° 27, p. 8, ISSN : 0990-6908
- Publication
- Paris: Institut pour l'histoire de l'aluminium, 2000/2001
- Description technique / Physical description
- 10 p.; 17 x 24 cm
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- Langue / Language
- Français
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Description
- Résumé / Abstract
Nationalisé en 1981, Pechiney, sous la direction de G. Besse, entra dans une phase de profonde restructuration, rendue nécessaire après la fusion Pechiney Ugine Kuhlmann, et l'immobilisme qui la caractérisa. Parmi les usines visées, celle de Saint-Jean présente un cas singulier : Pechiney choisit, en 1983, d'en faire sa vitrine technologique et d'y réaliser d'importants investissements. Ce choix fut longtemps présenté par les uns comme le fruit d'une réflexion sentimentale, mettant en valeur l'attachement de Pechiney à son site originel, et par les autres comme une victoire politique des élus locaux fortement mobilisés autour du maintien de l'activité dans l'usine. La réalité, plus complexe, s'appuie en fait sur des contraintes financières et économiques fortes.
Following its nationalisation in 1981, Pechiney,under the management of G. Besse, began a phase if fundamental restructuring that the Pechiney Ugine Kuhlmann merger and the group's characteristic opposition to change had made necessary. The Saint-Jean site was a special case among the plants concerned. In 1983, Pechiney chose to make Saint-Jean its technological showcase and carry out substantial investments. That choice was long viewed by some commentators as sentimental, reflecting Pechiney's great attachment to the site of its origins, and by others as the victory of local elected representatives who had campaigned to keep the plant in activity. The more complex reality was determined by significant financial and economic constraints.
