La micrographie électronique au Service de recherches et essais physiques de Chambéry, de 1945 à 1962

Auteur(s) : Saulnier, Adrien

• Notice du document

  Titre / Title

  La micrographie électronique au Service de recherches et essais physiques de Chambéry, de 1945 à 1962 = Electronic micrographics in the Chambéry physical research and test unit, 1945 to 1962

  Auteur(s) / Author(s)

  Saulnier Adrien, auteur principal

  Type de document

  Article

  Collection

  Cahiers d'histoire de l'aluminium , N° 22, p. 65-80, ISSN : 0990-6908

  Publication

  Paris: Institut pour l'histoire de l'aluminium, 1998

  Description technique / Physical description

  16 p.; 17 x 24 cm

• Langue / Language

  Français

• Description

  • Résumé / Abstract

    Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le Service de recherches et essais physiques de Chambéry (SREPC), ne disposait que de locaux et de matériels anciens et insuffisants, inadaptés à la conduite de recherches métallographiques modernes. En 1948, la décision est prise de moderniser les lieux et d'investir dans des outils nouveaux, le microscope électronique en particulier. Une impulsion déterminante est ainsi donnée, point de départ de progrès successifs qui seront accomplis, et dont A. Saulnier donne quelques exemples. Ces résultats furent aussi le fruit d'une collaboration étroite avec le Service Technique de L'Aluminium Français, courroie de transmission entre les clients et les chercheurs. Enfin, ultime réussite et non des moindres, le SREPC acquit une renommée scientifique qui le plaça en situation de travailler pour le compte de l'Armée de l'air américaine et d'entretenir des relations fructueuses avec de nombreuses institutions universitaires, scientifiques et professionnelles, françaises et étrangères

    
    
    

    Following the Second World War, premises and equipment at the Chambéry physical research and test unit (SREPC) were old, inadequate and unsuited for the continuation of modern metallographic research. It was decided in 1948 to modernise the buildings and invest in new tools, particularly the electron microscope. So a crucial impulse was given, the starting point for a series of breakthroughs, of which A. Saulnier gives several examples. These results were also the fruit of close co-operation with the Technical Department of L'Aluminium Français, the relay between customers and researchers. Finally, the SREPC's last but not least achievement was to gain a scientific reputation which put it in a position to work for the US Air Force and to keep up profitable relations with several academic, scientific and business institutions, both French and foreign.